L'examen préalable de la manoeuvre a conclu que la transaction n'induirait pas de menace concurrentielle sur le Vieux continent, du fait des parts de marché limitée de chacune des deux parties, indique un communiqué paru mardi sur le site de l'institution.
Une fois finalisé le rapprochement, l'assureur fusionné détiendra une part de près de 20% du marché suisse et sera également présent en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne, en Belgique, en Autriche et au Luxembourg ainsi qu'au niveau mondial dans les assurances spéciales.