Le texte demandait que ce montant maximal soit relevé à 15'000 francs pour les salariés, contre 6883 francs en 2022 et 7056 francs en 2023. Pour les personnes actives ne disposant pas d'une prévoyance professionnelle, il serait fixé à 45'000 francs, contre 34'416 francs en 2022 et 35'280 francs en 2023.

Pour la commission, Damian Müller (PLR/LU) a défendu le système actuel. Selon lui, la priorité est plutôt d'autoriser les personnes qui n'ont pas pu cotiser, ou que partiellement, au pilier 3a au cours des années précédentes à le faire. Cet objet, accepté par les deux Chambres, est en cours de développement.

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La limite actuelle est relativement basse, a tenté de faire valoir Hannes Germann (UDC/SH). La modification entraînerait une réduction des recettes pour les autorités, "mais cela serait compensé plus tard". Selon lui, il faut encourager les économies, pour éviter que l'Etat ne doive compenser des rentes trop faibles au moment de la retraite. (awp/hzi/ps)