Les cantons sont pris dans un "gigantesque conflit d'intérêts", déclare le président de la faîtière des assureurs dans les titres alémaniques du groupe Tamedia. La Suisse s'offre ainsi des hôpitaux "trop chers et superflus". En résulte une hausse des coûts, poursuit-il.

Alors que si les décisions sont prises "de haut en bas", la proximité émotionnelle disparaît et les décisions deviennent plus objectives, assure M. Landolt. Selon lui, l'admission des médecins doit également être réglementée au niveau national.

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Le conseiller national du Centre glaronnais qui ne se représente pas aux fédérales indique vouloir faire élaborer une initiative en ce sens l'année prochaine. Cette dernière doit permettre d'une part d'atteindre une planification nationale et d'autre part de tenir compte des "besoins régionaux minimaux". Pour le centriste, la planification hospitalière nationale est aussi une solution à la pénurie de personnel qualifié. (awp/hzi/ps)